Stanley Greene - ROAD TO RUIN
€ 28.00
Si le reportage est un voyage, le photographe, lui, en est le passager volontaire. Selon les mots de Dan Eldon, « le voyage est la destination ». Le plus souvent, nous partons à la quête d’une certaine vérité, mais il arrive, comme ce fut le cas pour moi en Afghanistan et en Asie centrale, que nous nous retrouvions à tâtonner dans une obscurité totale, à la recherche d’un élément caché, invisible à nos yeux.
Samedi 28 juin - Début du voyage. Si le reportage est un voyage, le photographe, lui, en est le passager volontaire. Selon les mots de Dan Eldon, « le voyage est la destination ». Le plus souvent, nous partons à la quête d’une certaine vérité, mais il arrive, comme ce fut le cas pour moi en Afghanistan et en Asie centrale, que nous nous retrouvions à tâtonner dans une obscurité totale, à la recherche d’un élément caché, invisible à nos yeux. Peu après les attaques du 11 Septembre, j’effectuais mon premier voyage en Afghanistan. J’y restais deux mois et demi à couvrir la guerre entre l’Alliance du Nord et les talibans. Chaque jour, nous tentions de nous approcher davantage du tunnel de Salang, détruit dans une explosion, et de le traverser. Malgré tous nos efforts, nous parvenions inéluctablement à quelque point infranchissable, au-delà duquel nous ne pouvions continuer. Que pouvait-il donc y avoir derrière ?
Nom | Stanley Greene - ROAD TO RUIN |
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Réf. | 978-2-35130-033-6 |